C'est simplement un texte que j'ai écrit à la classe, instantanément, basé sur la perception seulement. Donc, sans trop de recherche, sans statistiques ou données en détail.
En fait, j'aperçois qu'en France qu'on ne tient pas compte trop à la fête mondiale des femmes, c'est simplement un jour normal comme les autres jours de l'année. Moi, je n'y tiens pas compte aussi, pas trop. Mais c'est vraiment vraiment différent de l'atmosphère au Vietnam. Au Vietnam, c'est presque une très grande fête et je me manque des jours quand j'étais au lycée ou à l'université, où les garçons pourraient chanter tout le cours (comme cadeau pour les filles et la professeur mais à la fois pour ne pas arriver à apprendre ce jour là).
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Au Vietnam, surtout pendant et juste après la période féodale, la discrimination homme femme était extrêmement grave. Pourtant, de nos jours, cette discrimination n'existe presque plus, sauf seulement dans une minorité de la société.
Sous la période féodale, la position de l'homme dans la famille et dans la société était appréciée d'une façon exagérée. En fait, comme le roi possédait la force la plus importante dans le pays, toutes les positions de pouvoir, les ministères étaient destinés aux hommes. Les hommes étaient ceux qui avaient le droit de prendre les décisions, et peu importait l'opinion des autres personnes dans la famille. De plus, la naissance d'un fils était absolument importante, car le fils serait celui qui garderait et développerait le nom, la tradition, les biens de la famille. Une femme qui ne pouvait pas accoucher d'un fils était considérée comme inutile et l'homme avait alors droit de se marier à une deuxième, à une troisième épouse, pourvu que ces femmes lui donneraient un fils.
De nos jours, dans une société plus moderne, ce phénomène est au fur et à mesure effacé. Les postes sont destinés également aux femmes, ainsi qu'aux hommes, dans le gouvernement et dans le secteur privé; et s'il y a n'importe quelle inégalité en terme de traitement ou de salaire entre les employés, la personne a le droit de se plaindre au syndicat ou à l'organisme autorisé. Par ailleurs, au Vietnam, il n'y a pas de journées pour l'homme mais il y a deux fêtes consacrées aux femmes: le 20 Octobre - la fête des femmes vietnamiennes et le 8 Mars - la fête internationale des femmes. Pendant ces jours là, les filles, les mères, les femmes de tous âges sont très heureuses de recevoir des fleurs, des cadeaux, des remerciements de la part des hommes. Particulièrement, les hommes et les femmes, de nos jours, peuvent exercer des métiers qui ne semblaient pas jusqu'alors possibles. Les premières pilotes - féminines vietnamiennes ont été formées, et plein d'hommes choisissent de poursuivre un métier spécialisé en maquillage, par exemple.
En revanche, la situation de discrimination n'est pas encore effacée totalement et partout. La discrimination existe parmi une minorité de la population qui se situe dans les zones reculées du pays, à la campagne, dans les régions montagnardes, parmi les paysans ou les groupes d'ethnies minoritaires. L'importance est que le gouvernement, les ONG, puissent mettre en place des mesures afin de résoudre cette inégalité: renforcer la promotion et l'éducation sur le problème, mettre en place des sanctions strictes pour les cas de violations, etc...
En conclusion, l'inégalité homme-femme n'est pas seulement le problème des pays en développement, mais il se pose partout dans le monde, et même dans les pays les plus développés. Mais avec l'évolution de la société et de la perception des gens, elle n'est plus un grave et prioritaire problème.
