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"Ce que j'ai aimé, que je l'aie gardé ou pas, je l'aimerai toujours" [André Breton] . "Je suis au fond de ce que je parais en surface: douce, timide et rêveuse. Même quand la vie se fait cruelle"____ [Erik Orsenna. La grammaire est une chanson douce]
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Gros coup de coeur : La nuit où les étoiles se sont éteintes

J’ai eu la chance de rencontrer les autrices de ce livre, Nine Gorman et Marie Alhinho (elles sont gravement cool !!) avec tous ses fans en participant à une conférence lors du salon du livre à Paris. Ce souvenir sympa m’a fait du bien car j’ai beaucoup aimé ce livre. 

J’ai besoin d’une journée pour relire tous mes highlights et mes notes, il y en a plein, avant d’écrire quelques mots de critiques. Je classe ci-dessous des sujets qui me tiennent au coeur. 

1. Finn et sa mère 
Finn semble d’être un personnage assez …”brut” (je ne sais pas si j’utilise le bon mot), de l’apparence, il bat, il fume, il est tout seul, il n’a besoin de rien et de personne, … sauf sa mère. Cela me donne un goût amer chaque fois il la mentionne. Plus son passé se révèle, plus on voit son côté doux qui se cache profondément dans lui. A cause des blessures qu’il doit supporter, il construit autour de lui une armure pour se protéger.

‘Aucune drogue ne pourrait me faire davantage de bien. Penser à ma mère, c’est tout ce dont j’ai besoin.’ 
‘C’est elle qui me faisait tenir. Elle était la raison pour laquelle je me levais le matin, la raison pour laquelle j’acceptais d’aller en cours, la raison pour laquelle je me tapais presque sept kilomètres à vélo, matin et soir, pour étudier dans un bon lycée, la raison pour laquelle j’essayais d’améliorer mes notes avec l’aide de Nate, la raison pour laquelle je me cassais de cul à bosser dans un foutu café. Elle était la raison de tout. Ma raison de vivre. Maintenant, je ne sais plus comment continuer. Sans étoile, sans repère, sans volonté pour avancer comme je le faisais sous l’impulsion de l’amour que je ressentais pour elle.’ 
‘J’aperçois ma mère comme on distingue une pépite d’or dans la boue d’une rivière.’ ‘Quatorze heures de route pour une heure de visite. Quand on aime, on ne compte pas.’
‘Quand elle lui caresse la joue avec douceur, je ne peux pas m’empêcher d’avoir le coeur serré. C’est égoïste, mais ça me fait mal de voir Nate si heureux et entouré de ses deux parents. Son père est présent pour lui, sa mère lui offre des cadeaux, et moi, pendant ce temps-là, je dois me contenter d’un coup de fil deux fois par mois.’ 
‘Est-ce que tu peux me promettre une chose ? / Bien sûr. Tout ce que tu veux. / Ne laisse pas la noirceur du monde ‘engloutir. Fais confiance aux gens, aime-les. Certains te décevront, mais d’autres seront de belles surprises. / Il faut parfois traverser de mauvais moments pour apprécier les meilleurs à leur juste valeur. Les étoiles n’ont pas besoin de la nuit pour briller, mais toi, tu en as besoin pour les voir.’ ‘T’inquiète pas. Je suis sûr que ça finira par s’arranger. C’est stupide, mais quand il prononce cette phrase, je ne peux pas m’empêcher de penser à ma mère et au gouffre sans fond que son départ a ouvert en moi.’ 
‘Dans le miroir, je vois un type ravagé par la tristesse. Il a remplacé la belle femme brune et pleine de joie qui vérifiait toujours son rouge à lèvres avant de sortir, même quand il n’y avait qu’elle et son fils. Et je ne peux pas m’empêcher de me dire qu’il aurait mérité de mourir à sa place.’ 

Bref, la lettre qu’il a finalement écrite à sa mère m’a fait beaucoup pleurer. 

2. Finn et Nate 
Ils sont troppppp adorables, ainsi que tous les moments où ils sont ensemble! 

‘Il reste impassible, comme s’il attendait que la tempête passe pour pouvoir s’approcher.
Comment peut-il rayonner quand, autour de moi, tout semble si sombre? J’ai l’impression de me noyer dans un océan de solitude et lui, il débarque avec ses manières de poète et ses airs de joli coeur.’ 
‘J’ai toujours été trop fier pour demander de l’aide, mais avec lui je n’ai pas à le faire.’ 
‘Ce mec est vraiment bizarre : il s’est tapé toute la route depuis son quartier friqué et m’a attendu deux heures dans le noir, tout ça pour le filer les cours que j’ai manqués.’ 
‘Une petite voix me déconseille de l’inviter à entrer, mais je ne l’écoute pas. Parce que c’est Nate.’ 
‘Je trouve que tu brilles énormément, pour un trou noir.’ 
‘Bordel, il me fait faire n’importe quoi. Je ne le ferais pour personne d’autre.’ 
‘Lorsque je l’aperçois enfin entre les autres élèves qui discutent devant la grille, j’ai l’impression d’avoir le coeur sens dessus dessous.’ 
‘Si t’en doutes, moi, j’ai foi en toi pour deux.’ 
‘On se retrouve donc à traverser la ville à deux sur mon vélo’ (awww, les lycéens) 
‘T’es sûr que c’est ton truc, les garçons? / Je réponds sans même réfléchir - Je sais pas si c’est mon truc, les garçons, mais je sais que mon truc, c’est toi.’ 

Je kiffe Nate, il est très ‘soft’, contrairement à Finn, non? ;) 
‘T’inquiète pas pour moi, je suis plus solide que j’en ai l’air.’ 
‘Il ne répond pas, et je sens qu’un truc ne va pas. Quand je me tourne à nouveau vers lui, il a les yeux fermés. Dans le clair-obscur, je devine les larmes qui perlent sur ses joues.’ 

C’est pas drôle mais c’est tellement drôle la façon dont Finn lance le combat avec le père de son amour, un vrai combat avec les coups de poing et de pied =)), et puis il l’appelle ‘ce putain d’homophobe’ et ‘ce connard qui n’accepte pas son fils.’ 
‘Il ne s’attendait pas à me voir débouler comme un enragé - et encore moins à recevoir une raclée de ma part. On a souvent combattu ensemble pendant des mois. Mais jamais comme ça. Jamais pour faire mal. Cette fois, c’était tout ce que je voulais.’ 

3. Finn et les autres personnes : celles qui restent à son côté, de leur propre façon, l’aident à surmonter des jours difficiles. 
Comme Cliff, l’oncle qui a remplacé pour lui sa mère, et aussi son père, son sacrifice me touche énormément. 
‘Il me tapote l’épaule et ce geste, aussi simple soit-il, me donne soudain le sentiment d’être moins seul.’ 
‘Moi, je venais de me faire renvoyer, et lui, il m’offrait un chat. Je ne comprends pas ce qui lui est passé par la tête.’ 
‘Mon oncle finit par s’approcher de moi et, une main posée sur mon épaule comme s’il mesurait à quel point j’ai grandi depuis mon arrivée sous son toit, il me regarde avec une certaine fierté. Son regard est celui d’un père. D’un père de substitution, certes, mais d’un père quand même. Le seul que j’aie jamais eu et, finalement, je n’ai pas besoin de plus.’ ‘J’ai Cliff et ça me suffit, parce qu’il est un père pour moi, plus que cet inconnu le sera jamais.’ 

Comma la petite fille silencieuse au café 
‘Et je dois avouer que, au milieu du brouhaha perpétuel du café, son silence a quelque chose de réfonfortante’ 

Comme Kenna, la reine chieuse. Une grande part des lecteurs (ou plutôt lectrices) déclarent qu’on la déteste, en levant les mains quand l’autrice pose la question. Pourtant, elle aussi qui est ‘c’est vrai que c’est la reine des chieuses, mais elle n’en reste pas moins ma meilleure amie. Elle sait être là quand on a besoin d’elle. Si la terre s’ouvrait, ici et maintenant, et que l’enfer m’avalait, cette meuf serait capable de venir me chercher et de coller une raclée à Lucifer en personne pour me délivrer.’ 

4. Les autrices ont créé des comparaisons impressionnantes et des formules de phrases attachants 
‘Les fenêtres fermées. Ca fait un bel aquarium pour ta weed” 
“L’assistante sociale est venue me chercher pour me déposer ici comme un colis dont on est pressé de se débarrasser.' 
“Sa voix a beau être réconfortante, l’anxiété se taille une place jusque dans mes os’ 
‘C’est bizarre, cette façon qu’ils ont de me parler comme s’ils marchaient sur des oeufs.’ 
‘La vie est trop laide pour être supportée longtemps’ 
‘Aujourd’hui, on dirait qu’il joue au roi du silence’ (drôle haha parce que Nate est un ‘acteur’.) 
‘La réalité est presque aussi cruelle que les cauchemars.’ 

5. Le livre se compose de deux parties: le passé, tout ce qui se passe autour de Finn quand il déménage pour vivre avec Cliff et commencer dans une nouvelle école, et le présent - le roadtrip des 5 amis. Honnêtement, je suis plus intéressée par le passé, j’attends chaque chapitre pour savoir ce qui s’est passé plutôt que le présent, le présent pour moi est un peu invisible.

Il nous restera ça. Le 2è livre de Virginie Grimaldi que j’ai lu.

Et je donne 3.8⭐️. 

Je sens que j’oublierai vite son contenu. C’est coïncident que son 1er livre, ‘Tu comprendras quand tu seras plus grande’, je l’ai fini en janvier 2021, et ce 2è livre c’est janvier 2023. 

Les 1ers livres que je lis de n’importe quelles auteures françaises (il faut bien préciser ce fait): Marie Vareille, Virginie Grimaldi, Melisa Da Costa, et Valérie Perrin, sont toujours ceux qui m’impressionnent le plus ! (En plus, ‘Tu comprendras quand tu seras plus grande’ est parmi mes articles les plus lus et les plus trouvés sur l’Internet.) 

J’ai pu tester cette théorie avec deux auteures: Marie Vareille et Virginie Grimaldi. Il y a peut-être plusieurs raisons: le 1er livre d’eux que j’ai choisi à lire est aussi le plus connu, le plus remarquable; et j’ai une forte connexion avec les personnages. 

Pour ‘Il nous restera ça’, j’ai écouté l’audiobook en même temps mais c’est pas gagnant comme ‘La vie rêvée des chaussettes orphelines’ ou d’autres livres en anglais. Maintenant quand je repense à ce livre, ça ne me reste pas grande chose. C’est vraiment prévisible, et ‘la vie en rose’ - tout se passe tellement bien: l’amitié entre les 3 personnes, la relation entre Théo et sa copine, la dernière conversation d’Iris et son ex. C’est un livre feel good, oui je le sais, mais quand même… A 80% de l’histoire, je sens que je n’ai plus besoin d’arriver jusqu’à la fin. 

Pourtant, j’apprécie la lecture de ce bouquin. Pas mal de temps je suis touchée par des petites phrases tellement que j’ai presque pleuré. Le style de Virginie Grimaldi je peux toujours reconnaître: “agréable, amusant, suffisamment familier mais aussi profond si nécessaire, et les petits chapitres facilement à suivre.”. 

Gratitudes 2022

Le carnet de gratitudes 2022 partagé par French with Jeanne est vachement intéressant. 

J’ai écrit pas mal d’articles en anglais et en vietnamien sur mon autre blog mais pas assez d’articles en français. Désolée. 

Bon, laisse finir cette année en découvrant qu’est-ce qu’il y a dans ce carnet. 

 ‘J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé’ _ Voltaire 

Alexis Michalik

Brouillon édité en mai 2021 et finalement il peut être publié aujourd’hui, après que j’ai vu le 5è oeuvre d’Alexis Michalik qui est Edmond il y a 2 semaines. On peut compter aussi ‘Les Producteurs’ mise en scène par lui mais il n’est pas auteur et honnêtement cette pièce n’est pas mon coup de coeur.

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J'envisage de publier un article sur Alexis Michalik - le metteur en scène français qui est officiellement devenu mon nouvel idol 😊, après avoir vu toutes ses pièces (il m'en reste une qui est Edmond), ainsi qu'avoir lu quelques textes intégraux.

Une semaine équilibre

Et alors? Il n’y a aucune raison pour laquelle je n’écris pas en français quand je raconte ma vie à Paris. En plus, l’écriture en français me manque, vraiment. Même quand j’écris ces lignes là, je me sens un peu étrange, et en même temps très contente! 

Bref, j’ai eu une semaine assez équilibre. Equilibre entre être toute seule et prendre du temps à côté des autres, entre rester chez moi et sortir, entre manger chez moi et au resto (pour une introvertie, c’est TOP). Et il faisait beau toute la semaine. Et j’ai pris de jolies photos qui me motivent d’écrire un article pour que je puisse les partager. 

[Joli bouquin] Lettres d’amour de 0 à 10


J’ai lu ce livre il y a 5 ans. Le livre qui a été traduit en vietnamien et vendu au Vietnam m’a été offert par une amie comme cadeau d’anniversaire. Cette fois, je le relis et je trouve cette relecture un peu trop enfantin par rapport à moi au présent (oui j’ai 5 ans en plus) mais toujours et toujours un joli bouquin, doux, plein d’émotions, aussi plein d’espoirs. Comme on dit, ça donne du baume au coeur. 



J’aperçois que Susie Morgenstern est aussi l’autrice de la série “La famille trop d’filles” que j’ai bien aimé. Quelle coincidence ;). Alors que « La famille trop d’filles » compose de 5 filles et un garçon, « Lettres d’amour de 0 à 10 » parle d’une énorme famille de 13 garçons et une seule fille. Je relis mes critiques sur « La famille trop d’filles » et évidemment je retrouve de belles citations. 

Voici mes citations préférées (j’ai fait la sélection, sinon je devrais surligner tout le livre). 
  • Maman dit que si elle réussit à nous élever sans catastrophes, c’est tout ce qu’elle demande. Bien nous élever c’est trop demander. 
  • Vous avez eu une vie très dure, Grand-mère. / Plus la peine est profonde, moins on peut le dire.
  • Grand-mère, il faut vivre… avant d’être morte. 
  • Il ne voyait pas comment se dédire et, même s’il n’aimait pas cette personne, c’était néanmoins une personne, avec toute sa sensibilité et sa fragilité. 
  • On ne peut pas aimer tout le monde. On a déjà de la chance d’aimer ceux qu’on aime. 
  • Les rhumes viennent et s’en vont. Pas paresseux, Ernest aimait néanmoins la sensation d’être immobile au lit, noyé dans des couvertures. Il y avait à l’extérieur de ce lit un monde, de l’action, des gens, mais cela ne le concernait pas. Être malade, ce sont des vacances hors du déroulement de l’univers.

Changer l’eau des fleurs : du livre au théâtre

L’introduction du fond de l’histoire : impressionnante ! Cela me rassure que j’ai fait la bonne décision quand j’ai acheté ce livre lors d’un jour spécial ( j’achète rarement les livres maintenant comme je peux tous emprunter à la bibliothèque).

“Mes voisins de paliers n’ont pas froid aux yeux. Ils n’ont pas de soucis, ne tombent pas amoureux... ils ne lisent pas, ne payent pas d’impôts,... ils ne sont pas lèche-cul, ambitieux, ...Ils sont morts. La seule différence entre eux, c’est le bois de leur cercueil : chêne, pin ou acajou.”

Et c’est tout… tout ce que j’ai écris en avril, le mois où j’ai acheté ce livre. J’en ai lu un peu plus de 30%, puis je me suis arrêtée. Ce n’est pas parce que le livre est nul, non, au contraire, je confirme que c’est certainement un joli bouquin! Si vous pouvez voir le nombre de marque-pages que j’ai collées tout au long du 30% du livre, vous le saurez. Mais un livre pas facile à lire, pas un genre de lecture rapide.

Et il y a quelques jours, j’ai vu la pièce de théâtre adaptée de ce livre. C’est la pièce qui m’impressionne la plus cette année, celle dont je veux parler ici, sur mon blog. En fait, cette année n’est pas une année très dynamique concernant mon séjour de théâtre. J’ai moins de subvention, je dépense moins au théâtre, en plus il y a moins de pièces qui m’attirent. Et honnêtement, quelques pièces que j’ai décidé de regarder ne me plaisent pas 100% (bref, on peut dire que ce n’est pas mon goût), même si elles sont mises en scène par les stars comme Jean-Philippe Daguerre ou Alexis Michalik. A côté de “Changer l’eau des fleurs”, “Les Franglaises” est aussi une pièce géniale, les comédiens/comédiennes sont tous talentueux et très énergétiques. C’est pas vraiment la comédie musicale mais une combinaison entre théâtre et concert, ça apporte la nouveauté, l’originalité et beaucoup de créativité. J’ai bien dansé et chanté avec eux.

Bon, je reviens au sujet principal de l’article ;). Une pièce plus que géniale!!! Le théâtre Lepic tout mignon se situe en haut du Montmartre, calme, sympa et illuminant le soir. (Aussi une chance pour moi de découvrir ce côté de Montmartre à cette heure). 

La scène est aussi petite, la salle pareille mais complète, et que deux acteurs, une actrice mais ils apportent plein d’émotions aux spectateurs. Cette fois, je me suis située au premier rang, pas au milieu mais c’est pas grave, donc toute proche de la scène et les comédiens. L’histoire et leurs expressions si sincères m’ont donné envie de pleurer, de vivre dans cette histoire. La narration est spéciale et garde excellemment l’esprit du livre et le style de narration de Valérie Perrin.

Ok, la pièce m’a fait connaitre par avance les surprises du livre. Mais encore une fois, c’est pas grave. Cela ne me donne que la motivation de continuer à lire et finir ce joli bouquin le plus vite possible! 

Merci pour cette belle dernière expérience théâtrale de l’année 2021 :)


// Mise à jour après avoir terminé le livre //

De toute sa beauté et complexité… des personnages totalement normaux: un métier tel est garde-cimetière, un métier qu’on ignore que ça existe; un homme égoïste qui vit des jours de sa vie sans plan ni désire, il ne s’intéresse qu’à deux choses, les jeux vidéo et sa moto…; des beaux-parents détestables mais finalement on sait que ce n’est pas leur faute (pas vraiment) pour tout ce drame. 

Des personnages qu’on peut détester mais finalement on ressentit de la pitié pour eux. Philippe Toussaint, Gabriel, Irène, les amours désespérés, mais aussi chaleureux, la culpabilité… Je ne sais pas pourquoi mais je suis quelque part contente pour Philippe. Il a pu vivre ses dernières années, étant 100% lui, à côté de la femme qu’il aime, la seule femme qu’il aime de toute sa vie. 


La plume de Valérie Perrin est trop belle, littéraire mais trop belle. Ce n’est pas une lecture rapide mais si attractive que je ne peux jamais abandonner. Même si j’ai acheté ce livre le 14 avril 2021 (un jour spécial pour moi) et je l’ai terminé en janvier 2022. Beaucoup et beaucoup de marques-pages que je ne peux pas tout citer.